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Le quotidien «L’Économiste» a réalisé une enquête surla corruption au Maroc. Ce dernier explique que depuis la mise en place en mai 2018 d’un numéro pour dénoncer les cas de corruption, près de 20 000 appels ont été reçus entre mai et décembre 2018. Le montant exigé par les corrompus se situe entre 200 et 300 000 dirhams.
La même source assure que la région Marrakech-Safi arrive en tête de ses arrestations avec un taux de 22%. 63 cas ont été pris en flagrants délits. La justice enregistre en moyenne 2 cas de corruption par semaine. «Les agents d’autorité et ceux des collectivités territoriales sont les plus impliqués dans les crimes et délits où la moralisation de la vie publique est en jeu», rappelle L’Économiste.
La nature des plaintes et des réclamations n’est pas précisée : abus de pouvoir, déni de justice, retard de traitement, conflit d’intérêts…Aucun détail n’a été donné. 28% des appels dénoncent une corruption judiciaire, traduisant l’insatisfaction des citoyens face au système judiciaire marocain.
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