Stress hydrique : les nouvelles précisions de Nizar Baraka

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Le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka, a fait le point sur les mesures prises pour prévenir l’impact des stations de dessalement de l’eau. Il s’est arrêté sur les retenues des principaux barrages, et ce, lors de la séance hebdomadaire consacrée aux questions orales à la Chambre des représentants.

En réponse à une question sur les stations de dessalement de l’eau de mer, Nizar Baraka a affirmé que le Maroc n’a pas d’autres alternatives pour faire face au stress hydrique. L’État mise sur le développement des ressources en eau non conventionnelles, en l’occurrence le dessalement de l’eau de mer et le traitement des eaux usées. De plus, le ministre a souligné que ces choix sont inéluctables, compte tenu des répercussions du changement climatique sur le pays. Ces initiatives permettent en effet de répondre aux besoins actuels du pays en eau.

Par ailleurs, Nizar Baraka a insisté sur l’importance d’identifier les sites convenables pour installer des stations de dessalement d’eau. Ces précautions permettent d’éviter certaines complications, surtout en matière de biodiversité marine. D’autant plus que le Maroc ambitionne de réaliser 20 stations de dessalement d’eau à l’horizon 2030.