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Dans un communiqué diffusé mercredi, le procureur général du Roi près la Cour d’appel de Tanger a annoncé que l’autopsie médicale a confirmé le décès naturel d’un ancien médecin militaire à Tanger. Le défunt, identifié comme Mourad Seghir, est décédé d’un infarctus du myocarde résultant d’une sténose de l’artère coronaire gauche et d’une hémorragie gastrique due à plusieurs inflammations ulcéreuses.
Cette conclusion a été établie suite aux rumeurs circulant sur les réseaux sociaux concernant les circonstances suspectes de son décès. Le procureur général a donc ordonné une enquête immédiate pour élucider les faits. L’investigation comprenait une identification biométrique par l’Institut des sciences forensiques, relevant de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), et le prélèvement d’échantillons ADN pour confirmer l’identité du défunt.
L’autopsie écarte toute violence
Né à Tanger le 4 septembre 1968, Mourad Seghir a été admis à l’hôpital le 11 novembre dernier dans un état critique. Malgré les soins d’urgence, il a succombé à ses conditions médicales. L’autopsie réalisée par une commission médicale tripartite a exclu toute trace de violence ou d’hématomes sur le corps.
Pour approfondir l’enquête, le staff médical et les témoins ayant vu ou examiné le défunt ont été interrogés. Il a été révélé que Seghir avait été précédemment admis à l’hôpital le 8 novembre après avoir été trouvé dans un état de santé dégradé sur la voie publique. Après un traitement par oxygénothérapie, il avait quitté l’hôpital sans fournir d’informations sur son identité.
Suite aux déclarations de la sœur du défunt et à la finalisation des opérations d’identification, la famille a reçu l’autorisation de récupérer la dépouille pour procéder à l’inhumation le 1er décembre.
Le procureur général a d’ailleurs affirmé que l’enquête sur cette affaire est toujours en cours pour clarifier toutes les circonstances entourant ce décès.
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