Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
« Le remaniement, tant attendu, sera acté aujourd’hui dans l’après-midi avec une audience royale lors de laquelle les nouveaux membres du gouvernement devraient prêter serment devant le souverain. Des cérémonies de passation de pouvoirs entre les nouveaux ministres et leurs prédécesseurs suivront juste derrière », affirme le site d’information Le360, en fin de matinée, de ce mardi. Pour Assabah, daté du mardi 8 octobre 2019, le conseil des ministres est prévu ce mercredi. Et de préciser que le roi Mohammed VI devrait nommer de nouveaux walis et gouverneurs proposés par le ministre de l’Intérieur Abdelouafi Laftit.
Dans la presse arabophone, les angles de traitement du remaniement gouvernemental divergent. Les nouvelles ne sont pas bonnes pour le chef du gouvernement Saad Dine El Otmani, croit savoir le quotidien Assabah. Selon le journal, le roi aurait émis des réserves par rapport à la liste proposée par le chef de l’exécutif. Selon les sources du journal, Otmani aurait proposé des noms qui ont figuré dans les précédentes formations gouvernementales.À propos de la nouvelle composition gouvernementale, Akhbar Alyaoum croit savoir que Driss Lachgar, secrétaire général de l’USFP aurait brigué le poste de ministre de la Justice en remplacement de Mohamed Aujar (RNI). Une proposition refusée par El Otmani. Ce dernier avait expliqué que l’objectif principal de ce remaniement est de proposer de nouvelles compétences qui n’ont jamais rempli des fonctions ministérielles.
Pour rappel, le roi Mohammed VI avait chargé, dans son discours prononcé, le 29 juillet 2019, à l’occasion de la fête du Trône, le chef du gouvernement de soumettre des propositions visant à renouveler et enrichir les postes de responsabilité tant au sein du gouvernement que dans l’Administration. Selon les indiscrétions rapportées par les médias, il est fort probable que le nouveau gouvernement soit marqué par la forte présence de ministres technocrates. Une dizaine au total. Des sources médiatiques avancent que les profils en question sont proposés par les parties de la majorité gouvernementale. Une chose est sûre: le prochain Exécutif a beaucoup de pain sur la planche.
Temps de lecture : 2 minutes
Sahara : le blocage politique et l’implication algérienne discutés au Conseil de sécuritéLe Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni mardi à huis clos pour examiner les derniers développements dans le dossier du Sahara. La réunio… |
Parlement : les enjeux de la session du printempsL’ouverture de la deuxième session de l’année législative 2023-2024 a vu la réélection du candidat du Rassemblement national des indépendant… |
Maroc-Belgique : un socle solide pour une coopération multidimensionnelleLa Haute commission mixte de partenariat entre le Maroc et la Belgique a tenu sa 3e réunion ce lundi 15 avril 2024 à Rabat, sous la coprésid… |
Retour de Donald Trump, good or bad pour le Maroc ?‘’You’re fired !’’… Pas vraiment. L’aura Donald Trump pèse sur les Américains. Le showman semble à nouveau engagé dans la course à la prési… |
Maroc-France : une nouvelle page de coopération s’ouvreHier, la quiétude régnait à Casablanca, enveloppée dans une fraîcheur inattendue et un épais brouillard, typiques des derniers jours du Rama… |
L’UNTM et la Confédération des TPE-PME absentes du dialogue socialAlors que le 1er mai se profile, une question se pose avec insistance : les syndicats réussiront-ils à faire valoir leurs revendications, no… |
Sahara : «La France s’expose à être reléguée au rang de puissance du passé», Hafid BoutalebDepuis quelques années, entre le Maroc et la France, c’est parfois chaud, parfois froid. Au début de son premier mandat, Macron avait exprim… |
Dialogue social : Aziz Akhannouch ouvre les discussions avec l’UMTCe mardi 26 mars à Rabat, une nouvelle phase du dialogue social a été lancée sous la présidence d'Aziz Akhannouch, chef du gouvernement. L'é… |