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La controverse autour de l’affaire Tariq Ramadan a atteint de nouvelles proportions, car les allégations de viol contre l’universitaire réformiste ont été remises en question à la suite d’une enquête menée par la Brigade criminelle parisienne (BC).
Révélant des incohérences dans les témoignages de ses accusateurs, l’enquête a compliqué davantage l’affaire juridique déjà tumultueuse en semant le doute sur la véracité des allégations contre Ramadan.
Ramadan a été arrêté par les autorités françaises en février 2018 suite à une série d’accusations de viol lancées contre lui par trois femmes. Il a été libéré quelques mois plus tard, en novembre, après avoir payé 300 000 euros de caution et présenté son passeport aux autorités françaises.
Bien que les accusations contre Ramadan persistent, l’universitaire continue de rejeter ces allégations, les qualifiant de « campagnes mensongères initiées par ses adversaires ».
Ramadan a également intenté des poursuites judiciaires contre ses accusatrices pour diffamation.
Entre-temps, alors que le procès de Ramadan est toujours en cours, des témoignages contradictoires des deux côtés continuent de rendre l’affaire extrêmement litigieuse, tant en Europe que dans le monde musulman.
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