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Les étudiants en médecine continuent de boycotter les examens finaux, malgré les menaces du gouvernement.
Dans un communiqué publié le samedi 15 juin, la coordination nationale des étudiants en médecine a exhorté le gouvernement, au lieu de mener une politique de menaces et d’oppression, à « respecter les traités nationaux et internationaux sur le droit à l’expression et à la protestation« .
Les étudiants en médecine insistent sur « l’autonomie » de leur mouvement et invitent le gouvernement à participer à une discussion « constructive ».
« La coordination nationale est une institution autonome dont les décisions sont prises dans le cadre d’un débat démocratique lors de l’assemblée générale des étudiants », a souligné le communiqué en réponse aux accusations formulées par le gouvernement.
On compte 18 000 étudiants, de la 1re à la 7e année d’études, engagés dans le mouvement de grève qui se poursuit à travers le Maroc.
Les futures blouses blanches s’en tiennent à leur position et se préparent à descendre à nouveau dans la rue pour revendiquer leurs droits. « Immédiatement après la date limite des examens, le 25 juin, nous organiserons une marche nationale, mais nous n’avons pas encore fixé la date », a déclaré le coordinateur.
Le représentant et membre de la coordination nationale des étudiants en médecine du Maroc, Hamza Karmane, déclare que « le mouvement ne suit pas une logique de conflit, c’est une démarche citoyenne visant uniquement à améliorer les conditions de formation dans les facultés publiques ».
Pour Karmane, l’origine de la grève était la crainte des étudiants que les conditions de leur scolarité se dégradent au fil des ans. » Face à cette situation, personne n’est gagnant ou perdant. Si les étudiants obtiennent gain de cause, c’est tout le pays qui gagne. Par contre, s’ils échouent dans ce boycott, le Maroc est également perdant », affirme-t-il.
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