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Le ministre de l’Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l’Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri, a plaidé, jeudi 26 octobre à Rabat, pour un renforcement de l’investissement dans la formation professionnelle afin d’améliorer la mobilité de la main-d’œuvre.
Lors d’un atelier de capitalisation du programme THAMM (Pour une approche globale de la gouvernance de la migration et de la mobilité de main d’œuvre en Afrique du Nord) au Maroc, le ministre a souligné que la formation professionnelle permet une meilleure adaptation aux besoins changeants du marché et facilite l’intégration sur le marché du travail international. Il a également mis en avant l’importance de concilier les besoins intérieurs du Maroc avec les exigences du marché étranger, en vue de profiter des opportunités d’emploi à l’international.
De son côté, l’ambassadrice de l’Union européenne au Maroc, Patricia Llombart Cussac, a indiqué que le programme THAMM reflète l’engagement de l’UE et du Maroc à travailler ensemble pour une gestion de la migration et de la mobilité de la main-d’œuvre. Le programme vise à renforcer la coopération institutionnelle et à faciliter la mobilité des travailleurs avec certains membres de l’UE, en particulier l’Allemagne et la Belgique. Il cherche aussi à identifier les meilleures pratiques pour faciliter la migration et la mobilité de la main-d’œuvre.
Notons que le programme THAMM est financé par l’UE et le gouvernement allemand. Il est mis en œuvre par plusieurs organisations internationales et s’inscrit dans le cadre du volet Afrique du Nord du Fonds fiduciaire d’urgence de l’UE pour l’Afrique.
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