Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Le Conseil de la concurrence a initié une investigation approfondie concernant le secteur de l’approvisionnement en sardine, suite à des indications d’un possible accord de fixation des prix entre certains acteurs du marché. Par ailleurs, cette enquête a été déclenchée après des investigations préliminaires réalisées par les services compétents du Conseil, qui ont suggéré l’existence de pratiques potentiellement anticoncurrentielles nuisibles à la libre concurrence et aux intérêts des consommateurs.
En outre, cette auto-saisine par le Conseil, orchestrée à la suite d’une proposition de son rapporteur général par intérim, cherche à déterminer la conformité des actions des entreprises impliquées avec la loi n° 104-12 relative à la liberté des prix et de la concurrence. De manière explicite, cette loi prohibe toute entente ou coalition, qu’elle soit explicite ou tacite, visant à restreindre l’accès au marché ou à manipuler les prix de manière artificielle.
Lire aussi : Conseil de la concurrence : l’état de la concurrence dans les marchés des fruits et légumes
Impact sur les prix et régulation
En effet, l’importance de cette enquête est soulignée par l’impact potentiel sur les prix des sardines, un produit de première nécessité pour de nombreux consommateurs. Par conséquent, la régulation de tels secteurs est essentielle pour garantir que les dynamiques de marché ne soient pas entravées par des pratiques déloyales qui pourraient limiter la compétition et affecter négativement le pouvoir d’achat des consommateurs.
De plus, le Conseil de la concurrence, en vertu de ses pouvoirs attribués par les lois constitutionnelles et législatives, agit dans l’intérêt public pour maintenir l’équilibre et l’intégrité des marchés économiques. Finalement, le rapporteur général a précisé que cette mesure d’ouverture d’une procédure d’instruction est une étape préliminaire et ne préjuge en rien des conclusions finales du Conseil, qui seront basées sur les résultats de l’enquête en cours.
Temps de lecture : 2 minutes
BAM : expansion du crédit bancaire à 2,7% en avril 2024En avril 2024, le crédit bancaire accordé au secteur non financier a connu une expansion de 2,7%, un léger recul par rapport au taux de 3,4%… |
Gitex 2024 : l’expérience marocaine en construction durable mise en lumièreL'expérience du Maroc en matière de construction durable a été mise en avant lors d'un panel organisé jeudi à Marrakech, dans le cadre de la… |
Gitex Africa : et si les digital nomads étaient une solution au tourisme ?Le concept de digital nomads fait de plus en plus d’émules à travers le monde. Ils travaillent à distance et font la promotion de nombreuses… |
Le Maroc prévoit plus de 30 millions de passagers aériens d’ici fin 2024Le ministre du Transport et de la Logistique, Mohamed Abdeljalil, a révélé des projections optimistes pour l'industrie du transport aérien, … |
Accord stratégique entre CDG Invest et ACAPS pour stimuler l’InsurtechDans un mouvement stratégique visant à révolutionner le secteur de l'assurance et de la prévoyance sociale, CDG Invest, la branche investiss… |
Maroc : une croissance de 3,5% en 2024, selon la BADLa Banque Africaine de Développement (BAD), a annoncé que la croissance du produit intérieur brut (PIB) au Maroc devrait augmenter pour atte… |
Outsourcing : le Maroc progresse de 12 places au classement mondialLe Maroc se distingue à l'échelle mondiale dans le secteur de l'outsourcing, grimpant de 12 échelons pour atteindre le 28ᵉ rang internationa… |
Gitex Africa : la SMIT, l’ADD et l’APEBI s’allient pour promouvoir la digitalisation de l’écosystème touristiqueLe directeur général de la Société marocaine d'Ingénierie touristique (SMIT), Imad Barrakad, Sidi Mohamed Drissi Melyani, directeur général … |