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Le secteur de l’enseignement traverse une période critique. D’une part, les grèves des enseignants persistent et, d’autre part, des menaces de perturbation similaire se profilent dans l’enseignement supérieur. Par conséquent, cette situation met en lumière les profondes insatisfactions des professionnels de l’éducation face aux politiques gouvernementales.
Des coordinations émergentes contre l’inaction gouvernementale
Des enseignants universitaires, s’organisant en coordinations à travers des groupes WhatsApp, protestent contre le non-respect d’un décret promettant une augmentation de salaire de 3.000 DH. Ce décret, paru dans le Bulletin officiel (BO), semble rester lettre morte, exacerbant ainsi le sentiment de trahison parmi les enseignants. En outre, ce mouvement de contestation symbolise un malaise général vis-à-vis du gouvernement, accusé de manquer de sincérité et de crédibilité dans ses engagements.
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Le syndicat sous le feu des critiques
De plus, le Syndicat national de l’enseignement supérieur (SNES) fait également l’objet de critiques sévères. Les enseignants universitaires le blâment pour sa proximité avec des agendas politiques, ce qui, selon eux, compromet son rôle de défenseur impartial des intérêts des professionnels de l’éducation. Par conséquent, cette défiance envers le syndicat augmente la pression sur le secteur et risque de fragiliser davantage la paix sociale au sein des institutions éducatives.
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Un avenir incertain pour l’éducation marocaine
En conclusion, la situation actuelle dans l’éducation nationale, avec les grèves des enseignants et un dialogue laborieux avec le gouvernement, annonce peut-être une crise similaire dans l’enseignement supérieur. Ce climat de mécontentement généralisé souligne les défis que le gouvernement doit relever pour apaiser et réformer le système éducatif. La manière dont le gouvernement et les syndicats répondront à ces problématiques dans les prochains jours sera déterminante pour l’avenir de l’éducation.
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