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Ce mercredi 15 juillet, Elyes Fakhfakh, le Premier ministre tunisien, a présenté sa démission au Président Kaïs Saïed sous la pression du parti d’inspiration islamiste Ennahdha. Fragilisé par une affaire de conflit d’intérêts, Fakhfakh a jeté l’éponge après qu’Ennahdha, qui compte six ministres au gouvernement, avait déposé une motion de défiance contre lui, l’accusant de corruption. Fakhfakh avait réagi aux manœuvres du parti islamiste visant à l’évincer et a accusé Ennahdha d’avoir instrumentalisé l’affaire des soupçons de conflit d’intérêts l’impliquant afin de servir ses propres intérêts politiques. Les six ministres impliqués ont été limogés.
Selon un communiqué des services du Premier ministre, cette démission a été déposée «pour éviter au pays des conflits entre institutions» et afin d’ouvrir au président «un chemin nouveau pour sortir de cette crise».
Après la démission du Chef du gouvernement de son poste, l’initiative revient, dans ce cas, au président pour désigner son successeur. Saïed dispose désormais d’une semaine pour désigner un nouveau Premier ministre. Ce dernier disposera à son tour d’un délai de deux mois pour former un nouveau gouvernement et le faire investir par le Parlement.
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