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Voilà aujourd’hui 56 jours que les membres de la Commission chargée du nouveau modèle de développement (CSMD) ont été nommées par le roi Mohammed VI. Durant cette période, ces derniers ont effectué plus de 40 rencontres et de séances d’écoute avec plusieurs parties concernées parla réalisation de ce chantier (partis politiques, institutions, citoyens…).
«Si nous voulons construire, nous pouvons considérer que le terrain peut apporter des idées pour aller vite. Cela va aussi permettre de briser les réticences au changement», a déclaré Chakib Benmoussa, président de la CSMD, lors d’un point de presse organisé mardi 4 février. L’un des principaux obstacles auxquels se confronte cette Commission est de rétablir la confiance des citoyens. Selon TelQuel, la persistance de la rente, de la corruption, des conflits d’intérêts et la complexité des relations avec l’administration sont les principaux dysfonctionnements pointés par l’instance.
«Il y a un vrai déficit de confiance malgré toute la bonne foi dont on peut faire preuve», a souligné Ahmed Reda Chami, membre de la CSMD et président du Conseil économique et social. Pour reconquérir les cœurs, Chami souhaite implanter un principe de « Quick-Win », avec des solutions rapides et efficaces en vue d’un modèle de développement qui ne pourra donner un résultat qu’après 10 où 15 ans, lit-on sur Les Inspirations Éco.
Parmi les solutions de communication adoptée par la CSMD, une plateforme interactive publique qui devrait voir le jour dès la semaine prochaine. «Chaque Marocain pourra y déposer ses idées et contribuer au débat et aux consultations publiques de cette commission», a annoncé Benmoussa. Le président de la CSMD, et actuel ambassadeur du Maroc en France, déclare que son organisme n’a pas vocation à prescrire un modèle de développement, mais à révéler celui qui correspond le mieux aux attentes des Marocains. «Nous cherchons un modèle de développement à dimension stratégique, globale, intégrée et participative», a-t-il précisé.
Sur la possibilité de rendre une copie finale au roi Mohammed VI dans les délais prévus, soit le 30 juin 2020, Benmoussa se veut optimiste tout en gardant une marge de doutes. «Nous avons la conviction que ça sera fini à temps. Si ce n’est pas le cas, on demandera la prolongation de la durée du mandat».
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