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En novembre 2018, le tribunal avait condamné Bouachrine à 12 ans de prison. La police l’avait arrêté en février 2018 pour traite d’êtres humains, viol et agression sexuelle contre plusieurs femmes journalistes travaillant pour son journal. En plus de prolonger sa peine, le tribunal a également décidé le 25 octobre que l’indemnité qu’il devait verser aux victimes devait être revue à la hausse.
Le tribunal a ainsi condamné TaoufikBouachrine à verser une indemnité de 800 000 dirhams à l’une de ses « victimes », tandis que les autres recevront des sommes allant de 150 000 à 500 000 dirhams. Il versera également une amende de 300 000 dirhams à l’État.
Lors de l’arrestation de Bouachrine en février 2018, la police aurait saisi 50 cassettes illustrant des actes sexuels comme preuves des crimes qui lui sont attribués.Ce dernier a rejeté toutesles accusations portées contre lui, affirmant que les motifs de sa détention étaient d’ordre politique.
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