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Créé en 2008 par Ahmed Fitri à l’issue d’une scission du Parti de l’Istiqlal (PI), le Parti de l’unité et de la démocratie (PUD) a été lancé au terme d’un congrès constitutif tenu à Bouznika sous le thème de « la réhabilitation de l’action partisane et politique ». Il n’a été reconnu officiellement qu’à la date du 2 janvier 2009. Ce parti, représenté au Parlementsuit une idéologie centriste basée sur les principes de la monarchie constitutionnelle, de l’Islam, de l’unité de la terre et de l’Homme.
Programme électoral
Le programme électoral du PUD se concentre principalement sur le volet social. Ce plan s’articule autour de trois points, à savoir l’enseignement, la santé et l’emploi. Selon Abdelmalek Dahchour, membre du bureau politique du parti, le PUD aspire à un enseignement public dans tous ses niveaux, qui soit de la même qualité que l’enseignement privé. Il a également pour ambition de réhabiliter le secteur de l’enseignement et de laisser aux parents le choix d’envoyer leurs enfants là où ils veulent, sans oublier l’homogénéisation des programmes, que ce soit au niveau du public ou du privé. Ainsi, le parti plaide pour la réalisation de projets public-privé (PPP) en matière d’enseignement.
S’agissant de la santé, le parti du robinet, évoquant une carence au niveau de l’infrastructure et du personnel, soutient que l’État doit mettre le paquet pour renforcer ce secteur. Dans le cadre de la généralisation de la couverture sociale, le PUD vise à mettre en œuvre ce programme avec un planning bien défini. Pour cette formation politique, il y a beaucoup d’actions à déployer au niveau des grandes entreprises non pas en augmentant les impôts, mais plutôt en élargissant l’assiette des impôts. Plusieurs sociétés et individus cachés dans l’informel seront encouragés à contribuer à l’effort financier des secteurs sociaux. Le parti plaide donc pour la promotion de l’emploi en créant des sociétés, en allégeant les impôts et en éliminant l’économie de rente, notant que beaucoup de sociétés bénéficient de ce système qui donne lieu à une économie paresseuse qui n’embauche pas.
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