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Une autre étoile du cinéma marocain s’est éteinte ce weekend. Il s’agit du cinéaste et scénariste marocain Mohamed Ismaïl, né en 1951 à Tétouan. Ce dernier, qui nous a quittésaprès une longue maladie, s’était consacré corps et âme à sa passion pour le cinéma afin de mettre la lumière sur les rapports humains dans leur complexité, leurs nuances et leur violence. C’est ainsi qu’après avoirrejoint la télévision marocaine en 1974, où il a produit et réalisé plusieurs films, émissions de télévision et pièces de théâtre, il a choisi de poursuivre une carrière dans l’écriture scénaristique et la réalisation, et ce au détriment de ses finances et de sa santé.
Malgré les modestes budgets que lui octroyait le Fonds de soutien du Centre cinématographique marocain (CCM), il a réussi à remporter plusieurs prix nationaux et internationaux. Il a décroché le trophée du meilleur scénario au Festival du film indépendant de Bruxelles pour son film « Ici et là », l’Étoile d’or du meilleur téléfilm pour « Allal al Kalda » et le prix du réalisateur et le grand prix du Festival international de la télévision arabe au Caire.
Peu loquace, Mohamed Ismaïl a su, au-delà des consécrations professionnelles, gagner le respect et l’amour des réalisateurs de l’ancienne et de la nouvelle génération, ainsi que l’admiration de l’ensemble des acteurs du secteur cinématographique et télévisuel marocain et étranger.De plus, son dernier film « La Mora, l’amour en temps de guerre » a surpris plus d’un à la 2e édition du Festival national du film à Tanger, qui lui a valuune large ovation des cinéphiles et de ses confrères.
Cet artiste, très regretté, a réalisé plusieurs longs-métrages, notamment « La Mora, l’amour en temps de guerre » (2020), »Des… Espoirs » (2015), »Awlad lablad » (2010), »Adieu mères » (2007), »Ici et là » (2004), »Allal al Kalda » (2003), »Amwajo el barr » (Les Vagues du rivage – 2001), »Et après... » (2000), et »Aouchtam » (1996).
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