Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Le ministre délégué auprès de la ministre de l’Économie et des Finances, chargé du Budget, Fouzi Lekjaa, a ouvert, mercredi 28 septembre à Rabat, les travaux de l’atelier de haut niveau sur la Revue des finances publiques (RFP). Organisé en partenariat avec la Banque mondiale, l’atelier est placé sous le thème « Gestion budgétaire au Maroc et la voie à suivre ».
Intervenant à cette occasion, le ministre a affirmé que la RFP est un outil important pour assurer l’efficacité des dépenses publiques.
«La RFP fait référence au processus d’évaluation approfondie des dépenses publiques existantes, afin d’identifier les possibilités de réduire ou de réorienter les dépenses à partir de celles peu prioritaires, inefficaces ou ineffectives», a-t-il souligné.
Le ministre a également indiqué que la RFP offre une approche systématique pour s’assurer que les dépenses sont alignées sur les priorités politiques du gouvernement, efficaces pour atteindre les objectifs visés, et déployées utilement. Il a ajouté que ladite revue fonctionne mieux lorsqu’elle est soutenue par des ressources adéquates et des structures de gouvernance bien développées.
Par ailleurs, le responsable a assuré que l’espoir d’une reprise solide et prometteuse après la crise sanitaire a cédé la place à une inflation galopante, au ralentissement de la croissance et à un endettement qui pourrait anéantir les équilibres financiers de plusieurs pays. «Ce contexte et ces déterminants justifient et légitiment le recours à la RFP», a-t-il estimé.
La réussite de la RFP, en tant qu’instrument flexible de planification budgétaire, reste tributaire de plusieurs facteurs. Il s’agit notamment d’une appropriation et d’un engagement politique pour le soutenir, afin de garantir la prise en compte des résultats de la RFP, ainsi que des objectifs stratégiques clairs et définis en amont du processus.
«Le but est de s’assurer de la convergence entre la RFP et les objectifs budgétaires à moyen terme, évitant ainsi, de diluer l’exercice dans des considérations non prioritaires», relève la même source.
Temps de lecture : 2 minutes
Sekkouri : voilà ce qu’a coûté le dialogue socialLe dialogue social n’est pas gratuit. C’est un fait. Selon Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion, de la Petite entreprise, de l’Emploi et… |
Économie bleue : le MEF et la BM font état d’un bilan encourageantLe ministère de l'Économie et des Finances et la Banque mondiale ont fait le point sur la quatrième mission de supervision du Programme pour… |
Baromètre de l’industrie : un chiffre d’affaires record de 801 MMDH atteint en 2022À Rabat, le 27 mars, le ministère de l’Industrie et du Commerce a levé le voile sur le dernier baromètre de l’industrie, un indicateur résul… |
OCP : des performances robustes en 2023 malgré les défis du marchéLe groupe OCP a annoncé aujourd'hui ses performances financières pour le quatrième trimestre et l'année entière se terminant en décembre 202… |
Dialogue social : SMIG, SMAG et travailleurs au cœur de la discussion avec l’UGTMCe mercredi 27 mars 2024 à Rabat, le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a poursuivi les rencontres dans le cadre du nouveau round de dia… |
Le ministère de la Transition énergétique et l’UM6P s’engagent pour l’innovation verteCe mercredi à Salé, le ministère de la Transition énergétique et du Développement durable et l'Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) o… |
Secteur privé, croissance inclusive et transition verte : la stratégie pays de la BERD pour le MarocLe conseil d'administration de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a annoncé, mercredi, avoir approuvé sa… |
Infrastructures gazières : signature d’un protocole d’accord relatif à la coordination des pouvoirs publicsMardi à Rabat, la signature d'un accord essentiel a posé les jalons de l'ambitieux projet de développement d'infrastructures gazières durabl… |