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Le procès de destitution du président américain, Donald Trump, est passé à une nouvelle étape. Après la clôture des plaidoiries des avocats du président, ce mercredi et jeudi sont consacrés à des périodes de questions rédigées par les sénateurs. La prochaine journée déterminante sera celle du vendredi, durant laquelle le Sénat se prononcera sur la possibilité d’entendre de nouveaux témoins dans le cadre de la procédure. Fortement bouleversés par les révélations de l’ex-conseiller à la sécurité nationale de Trump, John Bolton, certains sénateurs républicains modérés pourraient se joindre aux démocrates pour obtenir une majorité permettant d’entendre Bolton. L’ex-conseiller présidentiel a affirmé que le Donald Trump a bien conditionné une aide militaire destinée à l’Ukraine à l’ouverture d’une enquête sur ses rivaux politiques. Il s’apprête d’ailleurs à publier un livre-témoignage détaillant cette affaire.
Ce mercredi 29 janvier, lors d’une longue première journée de questions posées par les sénateurs, les avocats du président envisagent d’empêcher ce témoignage. «John Bolton connaît tous les secrets de la Nation» et ne peut pas être auditionné publiquement, a affirmé l’avocat de Trump, Patrick Philbin. De leur côté, les démocrates, qui réclament depuis des semaines la convocation de plusieurs hauts responsables de la Maison Blanche, ont invité les sénateurs à déterrer la vérité. «Il y a un témoin qui, s’il est assigné, est prêt à répondre aux questions du Sénat», a lancé l’élu démocrate Adam Schiff, qui fait office de procureur en chef. «N’attendez pas que le livre soit imprimé noir sur blanc le 17 mars pour avoir vos réponses», a-t-il poursuivi.
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