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Ce jeudi 23 janvier, le procès en destitution du président américain Donald Trump se poursuit au Sénat. Au troisième jour de ce procès historique, les procureurs démocrates ont repris leurs débats de fond sur une note plus juridique. Leur objectif est de prouver que Trump est coupable d’un des motifs de destitution cités dans la Constitution : «trahison, corruption ou autres crimes et délits majeurs». Ils ont essayé de convaincre les 100 sénateurs, qui font office de jurés, qu’en faisant pression sur l’Ukraine, le président a bien abusé de son pouvoir au profit de ses intérêts personnels. Selon l’élu de la Chambre des représentants, Jerry Nadler, la conduite dulocataire de la Maison-Blanche est «mauvaise, illégale et dangereuse». Pour lui, «la destitution est la réponse ultime de la Constitution à un président qui se prend pour un roi».
Compte tenu de la majorité républicaine au Sénat (53 sièges sur 100), les démocrates n’ont quasiment aucune chance de gagner ce procès. Les sénateurs républicains défendent toujours le président, soulignant que la procédure de destitution n’est pas pertinente puisque le dossier d’accusation ne comprend pas de crime au sens pénal du terme. À dix mois de la présidentielle, les démocrates espèrent surtout marquer les esprits des électeurs, en dévoilant l’inconduite de Trump.
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