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Amnesty : plus de 140 manifestants auraient été tués en Iran

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Alors que les autorités iraniennes ont assuré que les troubles qui secouent leur pays n’ont entraîné que cinq décès, Amnesty International conteste ce bilan. En effet, l’ONG a souligné ce lundi 25 novembre qu’au moins 143 citoyens ont été tués par les forces de sécurité iraniennes depuis le début des manifestations (le 15 novembre) provoquées par l’annonce d’une augmentation des prix du carburant. Selon l’organisation, ces morts sont principalement dûs à l’utilisation intentionnelle d’armes à feu et de gaz lacrymogène par la police. Le nombre de victimes pourrait être beaucoup plus élevé, a ajouté Amnesty.

Alors que Téhéran a déclaré que les chiffres avancés par Amnesty étaient « fabriqués », l’organisation a souligné que les « témoignages épouvantables des proches des victimes » ainsi que les vidéos « démontrent clairement que les forces de sécurité iraniennes ont utilisé des armes à feu contre des manifestants non armés » constituent des « preuves crédibles ».

Notons qu’Internet reste encore censuré pour de nombreux utilisateurs de téléphones portables en Iran. Selon Amnesty International, ce blocage quasi-total a été « imposé pour empêcher la fuite d’informationssur la répression iranienne vers le monde extérieur ».

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