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Des décennies de recherches génétiques ont montré que presque chaque caractéristique humaine est une interaction complexe de gènes ainsi que de différents facteurs environnementaux. Une nouvelle étude confirme que c’est également le cas pour la sexualité humaine.
La recherche effectuée par un groupe international de scientifiques, a été réalisée en collaboration avec 23andMe, une entreprise de génomique personnelle.
Lors de l’étude d’association pangénomique (GWAS) sur près d’un demi-million de personnes aux expériences sexuelles variées, les chercheurs n’ont trouvé aucune preuve de l’existence d’un seul « gène homosexuel ».
Selon l’étude, il existe un lien génétique avec les relations sexuelles entre adultes du même sexe, mais les facteurs environnementaux jouent un rôle plus important.
Il est « impossible de prédire l’orientation sexuelle d’une personne sur la base de son génome ».
« C’est un comportement complexe où la génétique joue un rôle, mais probablement de façon minime. L’effet de l’environnement existe, mais on n’arrive pas à le mesurer exactement », ajoute Fah Sathirapongsasuti, scientifique de 23andMe.
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