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La grogne des enseignants face au nouveau statut des fonctionnaires de l’Éducation nationale ne s’apaise pas. Malgré le gel du décret controversé, les syndicats, menés par la Fédération nationale de l’enseignement (FNE-Tendance démocratique) et la Coordination nationale du secteur de l’éducation, insistent sur la nécessité d’un dialogue inclusif, impliquant directement les acteurs syndicaux. Cette exigence souligne le fossé entre les attentes des enseignants et les réponses gouvernementales.
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Un calendrier de protestation dense
Parallèlement, la résistance s’intensifie sur le terrain. Une série de débrayages et de manifestations a marqué le début du mois de décembre dans plusieurs villes, dont Fès, Tanger et Marrakech. Ces mouvements reflètent un mécontentement profond face à l’exclusion des représentants syndicaux, perçus comme les voix légitimes de la communauté éducative. Ces actions de protestation, planifiées même pendant les vacances scolaires, visent à maintenir la pression sur les autorités pour une réforme significative.
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Un dialogue jugé insuffisant
En outre, les récentes négociations entre le gouvernement et les syndicats de l’éducation nationale ont été critiquées pour leur manque de résultats tangibles. Les syndicats contestataires, y compris la FNE, rejettent le cadre actuel du dialogue, le qualifiant de superficiel et insuffisant pour aborder les vraies problématiques. Ils demandent non seulement l’annulation définitive du décret litigieux mais aussi la restitution des retenues sur les salaires des grévistes, considérées comme punitives et injustes. Cette situation laisse présager la poursuite des tensions dans le secteur éducatif.
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