Mondial féminin : 2031 aux États-Unis, 2035 au Royaume-Uni

Le Mondial féminin devrait se jouer en 2031 aux États-Unis et en 2035 au Royaume-Uni, ces deux nations étant les seules à avoir déposé une candidature. L’annonce a été faite jeudi par Gianni Infantino, président de la FIFA, lors du congrès de l’UEFA à Belgrade.

« Les conditions sont réunies pour organiser ces éditions dans de grands pays et ainsi renforcer encore davantage le football féminin », a-t-il affirmé en ouverture de l’événement. Les États-Unis, qui ont déjà accueilli la compétition en 1999 et 2003, devraient ainsi célébrer les 40 ans du tournoi sur leur sol. De plus, la FIFA prévoit d’élargir le nombre d’équipes participantes de 32 à 48, à l’image de la réforme déjà appliquée au Mondial masculin à partir de 2026.

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Concernant l’organisation de 2035, l’unique dossier retenu provient des nations britanniques (Angleterre, Écosse, Pays de Galles et Irlande du Nord). « Ce serait la première Coupe du monde à domicile depuis 1966, un moment historique pour notre football », a souligné un porte-parole du Premier ministre britannique Keir Starmer.

D’ici là, le Royaume-Uni et l’Irlande accueilleront l’Euro masculin en 2028, un tournoi également attribué sans rival. Cette approche a déjà été suivie pour les Coupes du monde masculines de 2030 et 2034, confiées respectivement à l’alliance Espagne-Maroc-Portugal, avec trois matchs en Amérique du Sud, et à l’Arabie Saoudite.