Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Dans un effort continu pour moderniser le Code de la famille, une réunion s’est tenue récemment entre les membres de l’Instance nationale chargée de la révision du code de la famille et les représentants de trois partis politiques, marquant une étape importante dans le processus de réforme. Cette initiative a pour but de répondre aux évolutions sociétales actuelles.
Mohamed Joudar, secrétaire général de l’Union constitutionnelle (UC), a déclaré que cette réunion a permis de présenter la vision du parti et de proposer des amendements au Code. En outre, les propositions de l’UC, ancrées dans le référentiel religieux et constitutionnel, visent à préserver la cohésion familiale tout en priorisant le bien-être des enfants.
Vers une réforme globale et inclusive
De plus, Driss El Azami Idrissi, président du Conseil national du Parti de la justice et du développement (PJD), a exprimé la vision de son parti. Il a relevé des problématiques spécifiques dans les domaines du mariage, du divorce, de la pension alimentaire et de la garde des enfants.
Enfin, Abdessamad Archane, secrétaire général du Mouvement démocratique et social (MDS), a souligné l’évolution sociétale depuis l’adoption du Code il y a 20 ans. Il a mis aussi en évidence la nécessité de reconsidérer ses dispositions. Cependant, il est important de noter que, dans la lettre royale, le roi Mohammed VI a souligné la nécessité de réexaminer le Code de la famille. Cette démarche doit corriger les dysfonctionnements et lacunes actuels. En parallèle, elle doit s’harmoniser avec l’évolution de la société et les besoins du développement durable.
Cette série de consultations et propositions marque un pas décisif vers une réforme adaptée aux réalités contemporaines. De plus, elles cherchent à équilibrer respect des traditions et exigences modernes de la société.
Temps de lecture : 2 minutes
Myanmar : l’ambassade du Maroc à Bangkok en première ligne pour secourir ses citoyensL'ambassade du Maroc à Bangkok est activement engagée dans le suivi de la situation difficile des Marocains retenus au Myanmar sous l'empris… |
Enquête suite à la séquestration de Marocains au MyanmarLe Procureur général du Roi près la Cour d’appel de Casablanca a ordonné l’ouverture d’une enquête judiciaire, confiée à la Brigade national… |
Casablanca investit dans le tourisme avec l’achat de quatre bus touristiquesLa ville de Casablanca se dote de quatre nouveaux bus touristiques de haute qualité, un projet financé par un investissement de 25 millions … |
Maroc Rallye Équestre 2024 : un rendez-vous pour le amateurs d’équitation et de natureLe Maroc Rallye Équestre 2024 (MRE) s'annonce comme une aventure inoubliable pour les passionnés d’équitation et les amoureux de la nature. … |
Nizar Baraka : 340 points noirs identifiés sur les routes nationalesLors d'une réponse à une question orale à la Chambre des conseillers, le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka, a révélé que le… |
«Le Maroc ne peut faire face à Facebook et Tiktok», reconnait le ministre de la JusticeLa député du RNI, Bahija Simou a soulevé les dérapages sur les réseaux sociaux lors de la séance hebdomadaire des questions orales. Elle a m… |
Écoles pionnières : 230 établissements secondaires dès la prochaine rentréeChakib Benmoussa, ministre de l'Éducation nationale, du préscolaire et des sports, a annoncé à la Chambre des représentants que l'expérience… |
Transport scolaire : 580.000 élèves bénéficiairesLe ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, a révélé lors d'une séance à Rabat que le nombre d'élè… |