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Malgré un accord entre le gouvernement et les syndicats, la grève des enseignants entre dans sa septième semaine, plongeant le secteur éducatif dans une situation complexe. Les associations de parents d’élèves, confrontées à cette crise, ont intensifié leurs protestations.
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Des réactions institutionnelles et des propositions concrètes
Face à ce blocage, le ministère de l’Intérieur est même intervenu, mobilisant les autorités locales. Lors d’une réunion importante, le wali de Rabat-Salé-Kenitra, Mohamed Yacoubi, a écouté les préoccupations des parents. En réponse, il a affirmé : «Il est devenu nécessaire d’accompagner la dynamique gouvernementale pour sauver l’année scolaire chacun selon sa position, son influence et sa responsabilité. Tous doivent adhérer à cet appel pour le retour à la vie scolaire dans les meilleurs délais. Les enseignants doivent retourner en classe pour rattraper le temps perdu. Personne ne leur conteste le droit de continuer à exprimer leur refus de tout ce qui leur semble inapproprié».
En outre, Yacoubi a mis en garde contre les risques de cette impasse : «Il est absurde et dangereux d’hypothéquer l’avenir du pays en laissant les élèves en dehors des classes jusqu’au 15 janvier 2024». Suite à la rencontre du 27 novembre, le gouvernement et les syndicats ont convenu de geler le statut controversé, envisageant des améliorations pour les enseignants.
Pour pallier le retard scolaire, les associations de parents ont rencontré le ministre de l’Éducation nationale, suggérant des ajustements au calendrier scolaire et des sessions de rattrapage. Ces mesures visent à préserver la qualité éducative malgré les perturbations, soulignant la nécessité d’une solution harmonieuse pour toutes les parties concernées.
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