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La militante des droits humains Saida El Alami (48 ans) a été condamnée, ce mercredi, par la Cour d’appel de Casablanca à trois ans de prison ferme. L’activiste est accusée d’ »outrage envers un corps constitué » sur internet, selon sa défense. L’avocate de Saida El Alami, Souad Brahma, a déclaré à l’AFP que le verdict de la Cour est «injuste. Saida El Alami s’est exprimée dans le cadre de sa liberté d’expression, instituée dans la Constitution». Elle ajoute que la défense prévoit de saisir la Cour de cassation.
La « dissidente politique », en détention depuis le 23 mars dernier, publiait régulièrement sur les réseaux sociaux des posts critiques à l’encontre des autorités. Selon Amnesty International, elle avait dénoncé des responsables des services de sécurité et la corruption au sein de la justice.
Ces publications controversées lui ont valu des poursuites judiciaires pour « outrage envers un corps constitué », « outrage envers des fonctionnaires publics dans l’exercice de leurs fonctions », « atteinte à la justice » et « diffusion de fausses allégations ». Notons que le 29 avril dernier, le tribunal de Casablanca l’avait condamné à deux ans de prison ferme en première instance, assortie d’une amende de 5.000 DH.
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