Chroniques
Voilà l’étéPublié le 07/07
Après 8 mois de dur labeur, j’ai eu droit à un entretien avec mon patron. C’est important de faire le point de temps à autre. Savoir où on en est et prendre les décisions qui…
L’Aïd à CasaPublié le 30/06
Cette semaine, Aïd al-Adha oblige, nous avons assisté à la disparition simultanée des moutons et des anti-moutons. Si les premiers ont fini en boulfaf, les autres ont pris la tangente vers d’autres cieux. Du coup,…
Pour la paix dans le mondePublié le 23/06
Ce matin, pas envie d’aller à l’usine. À la suite d’une chute incontrôlée, j’ai le genou de la taille d’un ballon de foot. Un comble pour un amoureux des sports comme moi. Je décide de…
Le héros et le zéroPublié le 16/06
Lundi matin, bien reposé après un superbe week-end dans l’arrière-pays chez mon frère Saïd le bienheureux, où j’ai fait la connaissance d’une douzaine de variétés de tomates, les unes plus appétissantes que les autres, je…
Haro sur le raïbPublié le 09/06
Dimanche, déjeuner familial élargi. Plusieurs générations autour de la même table et autant de discussions en parallèle qui se chevauchent, fusionnent et dévient au rythme des plats qui deviendront pour chacun une déclinaison de la…
Lettre ouverte aux moustiquesPublié le 02/06
Avec le retour de la chaleur, les nuits sont à nouveau ponctuées par les vols intempestifs nocturnes des moustiques. Ils, ou plutôt elles, sont là, tapis dans l’ombre. A peine l’interrupteur enclenché, leur ronde commence.…
La palmeraie se meurtPublié le 26/05
Depuis que je suis enfant, mon père nous a fait découvrir le Maroc dans tous les sens. Cet amour de la route me vient de lui. J’ai l’habitude de sillonner le pays dès que je…
Un homme sous influencePublié le 19/05
Depuis quelque temps, je me sens un peu bizarre. Je ne me reconnais plus. Je prends des décisions, comme si elles m’étaient dictées. J’ai même abandonné mon uniforme noir pour une chemise bariolée. Inutile de…
Insomnie démocratiquePublié le 12/05
Cette semaine, pleine lune oblige, le sommeil s’est fait la malle. J’ai tourné dans mon lit, puis dans mon bureau, puis dans la rue, sans trouver la moindre trace de Morphée. Assis en silence dans…