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Ce lundi 7 septembre, les dirigeants d’Afrique de l’Ouest, réunis à Niamey, au Niger, lors de la 57e session ordinaire de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest(CEDEAO), ont décidé de donner jusqu’au 15 septembre à la junte militaire au pouvoir au Mali pour désigner un président civil. Soulignant que «le temps des coups d’État dans l’espace de la région est révolu», la CEDEAO a appelé à «un rétablissement rapide de toutes les institutions démocratiques».
La communauté a également annoncé avoir maintenu les sanctions économiques contre le pays ainsi que contre le Comité national pour le salut du peuple (CNSP), les militaires qui ont orchestréle coup d’État ayant conduit au renversement du président Ibrahim Boubacar Keïta et à la dissolution du Parlement et du gouvernement. Depuis lors, ces militaires ont pris le pouvoir dans le pays.
Notons que cet ultimatum s’aligne sur les demandes de l’ancien occupant colonial du Mali, la France. Le 30 août dernier, des diplomates français ont déclaré aux médias que la transition «doit se faire rapidement». En revanche, le Maroc est resté relativement neutre dans cette affaire et a déclaré qu’il avait pleinement confiance en ses «frères maliens» pour mener à bien une transition dupouvoir.
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