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Ce mardi 5 mai, la section marocaine d’Amnesty international a partagé un communiqué sur sa page Facebook, appelant à la libération des détenus d’opinion. L’ONG a indiqué avoir déjà exigé la libération de tous les prisonniers d’opinion dans le monde, surtout dans le contexte de la pandémie du Covid-19.
Le même jour, la Délégation générale de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion (DGPAR) a publié un communiqué en réponse à l’appel de l’ONG. Selon ce communiqué, «Amnesty International, qui prétend défendre les droits de l’Homme, a commis sa dernière bourde en appelant à la libération des seuls détenus des évènements d’Al Hoceima, prétextant en cela la propagation du Covid-19 et dévoilant ainsi son véritable visage». «Il s’avère que les considérations qui l’ont amenée à commettre cette bourde n’ont aucun lien avec les droits de l’Homme, d’autant plus qu’elle a mis au profit sa qualité d’organisation de droits de l’Homme pour servir d’autres agendas», a dénoncé l’instance. La DGPAR a également reproché à Amnesty Maroc de ne pas avoir pris en compte les mesures préventives mises en place dans les prisons afin de lutter contre la propagation du Covid-19.
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