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Ce lundi 9 mars, un sommet s’est tenu à Bruxelles entre le président turc, Recep Tayyip Erdogan, la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, et le chef du Conseil européen, Charles Michel. Cette réunion a été convoquée en urgence après que la Turquie a ouvert ses frontières avec la Grèce, il y a deux semaines. Depuis lors, ce pays fait face à l’afflux de milliers de migrants tentant de rejoindre l’Europe.
Lors de cet entretien, Erdogan a tenté de convaincre les Européens de revoir l’accord sur l’accueil des migrants, signé en 2016 avec l’Union européenne (UE). De son côté, le bloc des 27 a appelé Ankara à «respecter les engagements» issus dudit accord. Ce dernier prévoyait que les migrants restent en Turquie, en échange d’une aide financière européenne. Cependant, Erdogan accuse l’UE de n’avoir pas tenu toutes ses promesses.
Au lendemain de ce sommet, la Turquie a indiqué qu’elle espère trouver un accord avec le bloc d’ici le 26 mars. «Si nous parvenons à trouver un accord d’ici au 26 mars, alors celui-ci sera mis sur la table lors d’un sommet des dirigeants européens (qui se tiendra à cette date)», a déclaré Mevlüt Cavusoglu, le ministre des Affaires étrangères de Turquie.
Les négociations sur la question migratoire se poursuivront entre l’Union européenne et la Turquie. Cavusoglu s’entretiendra prochainement avec Josep Borrell, haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.
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