Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Ce mardi 5 novembre, le ministère public a annoncé dans un communiqué de presse qu’il était prêt à réexaminer les allégations avancées par le dirigeant du mouvement du Hirak, Nasser Zefzafi, si ce dernier arrive àapporter de nouvelles preuves. Cette déclaration publique a eu lieu moins d’une semaine après la fuite sur les réseaux sociaux d’un enregistrement de Zefzafi, dans lequel il indique avoir subi lors de son arrestation des actes de « torture » et de « viol ».
De plus, lit-on sur le même document, « cette affaire a été portée devant la justice et ce détenu avait confirmé, lors de sa comparution pour la première fois devant le Parquet, le 5 juin 2017, en présence de sa défense, n’avoir subi de la violence qu’au moment de son interpellation à Al Hoceima. Ce qu’il avait justifié par la présence de cicatrices etde légères blessures sur son corps quiont été notifiées dans le procès-verbal de son arrestation et qui s’étaient avérées causées par sa résistance farouche et violente au moment de son interpellation par les éléments de sûreté ».
Le communiqué ajoute que le détenu avait déclaré que les services de sécurité judiciaire qui avaient mené l’enquête « l’avaient bien traité et ne l’avaient soumis à aucune violence ni torture pendant le processus d’interrogatoire ». Cependant, Zefzai a déclaré au juge du tribunal de première instance qu’il avait fait l’objet d’une « tentative d’atteinte à la pudeur ». Dans sa déclaration, le procureur a rappelé qu’un examen médical effectué le 8 juin 2017 avait montré que Zefzafi « n’avait été soumis à aucune agression, viol ou atteinte à la pudeur ».
Temps de lecture : 2 minutes
Décès de deux détenus à Nador : les clarifications de l’administration pénitentiaireL'administration de la prison locale de Nador a publié une mise au point afin de répondre aux allégations diffusées par certains médias en l… |
Covid-19 : AstraZeneca reconnaît des effets secondaires rares liés à son vaccinLe vaccin anti-Covid-19 d'AstraZeneca, autorisé au Maroc, a été reconnu par le laboratoire comme pouvant entraîner un effet secondaire rare,… |
Le monde de la musique pleure la perte d’Ahmed HbichaLe monde de la musique est en deuil suite au décès du maestro violoniste Ahmed Hbicha, survenu hier, mercredi 1er mai, après un tragique acc… |
Nouveau développement dans l’affaire de harcèlement à la FSJES de MohammediaLa Cour de cassation a récemment annulé une décision de la Cour d'appel de Casablanca, qui avait condamné une étudiante de la Faculté des sc… |
Casablanca : rassemblement des centrales syndicales à l’occasion de la fête du travailCes rassemblements ont permis aux syndicats de célébrer les avancées obtenues pour la classe ouvrière tout en soulignant la nécessité de pou… |
ANEF : 12.000 infractions forestières par anLe directeur général de l'Agence nationale des eaux et forêts (ANEF), Abderrahim Houmy, a révélé lors de l'ouverture d'une journée d'étude s… |
Villes sans bidonvilles, où en sommes-nous ?Le programme « Villes sans bidonvilles », lancé en 2004 par le gouvernement marocain pour réduire le déficit en logements et lutter contre l… |
Étude : les jeunes Marocains face aux défis de l’employabilitéLa Youth Africa Foundation, une organisation à but non lucratif, vient de publier l'édition 2024 de son étude sur l'employabilité des jeunes… |