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Organisé par le ministère de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, conjointement avec le Réseau international des organismes de bassins (RIOB) et l’Institut international pour l’eau, l’environnement et la santé (GIWEH), sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, ce sommet vise à mobiliser plus de 500 experts des secteurs public et privé dans le domaine de l’eau, afin d’ouvrir le débat sur les défis liés à l’insécurité hydrique, à l’échelle nationale et internationale.
Selon un communiqué du ministère, ce sommet s’inscrit dans le processus des évènements préparatoires du 9e forum mondial de l’eau qui se déroulera en mars 2021 à Dakar.
Si la pénurie hydrique pose des problèmes évidents au niveau de l’accès à l’eau potable, à l’irrigation et à la production alimentaire, elle augmente également le risque de conflit dans certaines des régions les plus sensibles du monde, notamment leMoyen-Orient et l’Afrique du Nord.
La région MENA, déjà chaude et aride, est en train de s’assécher. Les images des satellites montrent que la région, où le stress hydrique est extrêmement élevé, perd de l’eau plus vite que prévu. Cette baisse résulte d’une combinaison alarmante de sècheresse et d’une exploitation accrue des eaux souterraines.
Alors que la problématique de la pénurie d’eau dépasse les frontières nationales et politiques parfois complexes, les solutions en matière de sécurité de l’eau font défaut au niveau régional.
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