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L’Espagne semble prête à tenir sa quatrième élection en autant d’années après que le Premier ministre par intérim Pedro Sanchez a échoué à obtenir le soutien du parlement pour former un gouvernement.
Le mardi 17 septembre,Sanchez a annoncé que l’Espagne va tenir de nouvelles élections le 10 novembre prochain, moins de sept mois après le scrutin général d’avril, qui s’est révélé peu concluant. Blâmant lepartid’opposition Podemospour cette impasse politique, ce dernier a déclaré : « J’ai fait tout ce que j’ai pu, mais ils ont rendu cela impossible ».
Felipe, le roi d’Espagne, a annoncé le même jour, après diverses consultations avec les chefs de partis, qu’il ne proposerait pas de candidat au poste de Premier ministre, car la Chambre des députés n’offrait pas le « soutien nécessaire » pour former un nouveau gouvernement.
Le système bipartite traditionnel de l’Espagne s’est fragmenté ces dernières années, et ce à cause des pressions infligéesau PSOE et au Parti populaire (PP) de droite après la crise financière de 2008 et une série de scandales de corruption, qui ont secoué le pays.À moins qu’il n’y ait un accord de dernière minute, le Parlement sera probablement dissous la semaine prochaine.
Par ailleurs, l’arrivée de Podemos au pouvoir pourrait jeter de l’ombre sur les relations hispano-marocaines et ainsi compromettre les dossiers de coopération bilatérale que les deux gouvernements ont réussi à gérer, notamment celui de l’immigration. En effet, Podemos s’oppose au refoulement des migrants interceptés à Mélilia ou Sebta, ce qui risque d’augmenter les flux migratoires vers l’Espagne et créera des tensions aux frontières des deux villes occupées, gouvernés par le PP.
Aussi, selon le quotidien LesEchos, les annonces du début des prospections dans les côtes de Tarfaya auraient provoqué l’ire du parti d’opposition espagnolequi a mis la pression sur le gouvernement central pour qu’il demande des explications à Rabat, voire la pousser vers l’abandon de ce projet.
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