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Décidemment, le vaccin d’AstraZeneca n’a plus les faveurs des autorités sanitaires françaises. La Haute autorité de santé (HAS) a décidé ce vendredi que les moins de 55 ans vaccinés contre laCovid-19 avec une première dose d’AstraZeneca auront leur deuxième dose avec un autre vaccin, Pfizer ou Moderna. Cela concerne 533.000 personnes en France, selon la HAS. Cette dernièreavait suspendu le vaccin d’AstraZeneca pour les moins de 55 ans le 19 mars, en raison de rares cas de thromboses (caillots sanguins) repérés en Europe. Mais auparavant, certaines personnes, notamment des soignants, avaient reçu une première dose de ce vaccin injecté depuis le début février. «Pour ces personnes, nous recommandons aujourd’hui d’administrer un vaccin à ARN messager» pour la deuxième dose avec un intervalle de 12 semaines entre les deux, a indiqué la présidente de la HAS Dominique Le Guludec, lors d’une visioconférence. La technique de l’ARN messager est utilisée par deux autres vaccins autorisés en Europe, ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna. Celui d’AstraZeneca utilise une technologie différente, dite « à vecteur viral ». Le fait de changer de vaccin entre la première dose et la seconde est appelé « schéma vaccinal mixte », a expliqué le Pr Elisabeth Bouvet, présidente de la commission technique des vaccinations de la HAS. «On a des raisons de penser que ce schéma vaccinal est intéressant. Il n’y a aucune raison de craindre des effets secondaires particuliers. La seule chose dont il failles’assurer est qu’il y ait une bonne réponse immunitaire, ça devrait être le cas», a poursuivi la Pr Bouvet. Aucune étude de grande ampleur n’a été réalisée chez l’humain pour ce type de schéma vaccinal, a noté la HAS.
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