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«Le Maroc est mon rêve éveillé, mon foie, ma demeure.» Le pays natal coule dans les veines de Driss Chraïbi et nourrit encore ses rêves longtemps après. C’est à travers l’évocation nostalgique des paysages qu’il retrouve le chemin de l’enfance, le djebel aride et nu, le désert écrasé de soleil, les hauts plateaux de l’Atlas, les ruelles grouillantes et colorées de la médina.
Puis vient le temps de l’adolescence avec la découverte d’un autre monde, celui des livres : une source intarissable à laquelle il ne cessera de s’abreuver, façonnant le jeune homme, ses espoirs, son univers intime. En temps de guerre, il entendra s’élever la rumeur du monde et d’un pays entre Islam et Occident qui s’ouvre à la modernité.
Vu, lu, entendu reprend en écho les voix de tout un peuple : «celles des hommes de l’autrefois», celle bienveillante de la mère, celle parfois dure et sévère du père, et le chant du désert : «Qui vous dira jamais ce qu’est le désert ? L’avez-vous entendu chanter ? Il chante réellement, quelques instants avant l’aurore, pour peu qu’on lui prête l’oreille.»
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