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La trêve de quatre jours dans les combats entre Israël et le Hamas, conclue dans le cadre d’un accord entré en vigueur vendredi, sera prolongée de deux jours, a déclaré lundi le Qatar, pays médiateur de cet accord. La trêve actuelle dans la bande de Gaza, qui expire mardi, a déjà porté ses fruits. Sous ce cessez-le-feu, des dizaines d’otages et de prisonniers palestiniens ont été libérés. De plus, une aide humanitaire significative a été acheminée. Cependant, les enjeux restent élevés. Israël et le Hamas ont proposé de prolonger cette trêve. Israël privilégie un renouvellement quotidien, tandis que les médiateurs internationaux suggèrent une pause de plusieurs jours.
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Impératifs et réactions internationales
Le gouvernement israélien, sous pression de son opinion publique et de la communauté internationale, a été encouragé à prolonger la trêve. Cette extension permettra la libération d’encore plus d’otages et l’acheminement davantage d’aide humanitaire. Le Hamas, de son côté, était ouvert à une prolongation de deux à quatre jours, cherchant à maximiser la libération des prisonniers. Des voix internationales telles que Joe Biden, l’Union européenne et l’Otan, ont également appelé à cette extension, soulignant son importance pour la paix et l’aide aux populations.
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Libération d’otages et aide humanitaire
La trêve a déjà permis des avancées notables. Environ 39 otages israéliens et 117 prisonniers palestiniens ont été libérés. Parmi eux, la jeune Abigail, une fillette américaine, dont le sort tragique a ému le monde entier. De plus, l’entrée d’aide humanitaire dans Gaza offre un espoir aux populations durement touchées. Cependant, le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, rappelle que l’objectif d’Israël reste la neutralisation du Hamas, considéré comme une organisation terroriste par les États-Unis, l’Union européenne et Israël.
Conséquences humanitaires et appels à la justice
La trêve, bien que temporaire, a offert un répit nécessaire à Gaza. Les besoins humanitaires dans la région sont immenses, avec des milliers de victimes et des dégâts considérables. L’ONU souligne que la situation nécessite une aide massive et continue. De plus, des experts de l’ONU en droits humains demandent des enquêtes indépendantes sur les allégations de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité depuis le début du conflit.
En résumé, la prolongation de la trêve à Gaza est un enjeu crucial, tant pour la libération d’otages que pour l’acheminement d’aide humanitaire.
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