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Les adouls dénoncent le refus des secteurs ministériels d’accorder le droit de dépôt au projet de loi 16.22 régissant la profession des adouls. Une décision que le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a annoncé mardi dernier la Chambre des conseillers. Cette déclaration a eu pour effet une grève nationale des adouls, prévue du 29 janvier au 5 février 2024, en signe de protestation. Dans un communiqué, l’Ordre national des adouls explique, en effet, suivre de près les développements de la situation post-annonce de Ouahbi. Son bureau a aussi souligné que la grève nationale d’une semaine n’est que la première étape de leur action.
Les adouls exigent la valorisation de leurs droits
Dans son communiqué, l’Ordre confirme sa volonté d’implémenter un programme de lutte progressif. Il soutient qu’il s’agit de la stratégie optimale pour imposer la légitimité de la profession de adoul. C’est aussi un moyen de faire entendre les revendications de ses travailleurs. Et cela conformément aux références constitutionnelles, aux droits fondamentaux et aux recommandations de la Charte de la réforme du système judiciaire.
Engagement continu de l’Ordre
Le bureau de l’Ordre affirme en outre qu’il restera en permanence en session, car il n’est pas près d’abandonner le programme de lutte des adouls. Il ajoute qu’il compte maintenir un dialogue constant avec l’assemblée générale et tous les adouls du pays.
Il convient de préciser que les adouls considèrent ce projet de loi comme une menace aux droits acquis. C’est-à-dire qu’il entrave la mise en œuvre de la Constitution de 2011, en particulier l’article 157. Ce texte dénigre de même les recommandations de la Charte de la réforme du système judiciaire, estime l’Ordre des adouls. De ce fait, la grève nationale vise à faire entendre la voix de ces professionnels. Elle a aussi pour objectif de garantir la légitimité de leur profession dans le respect des principes constitutionnels et des droits fondamentaux.
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