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En cette période de Ramadan, les citoyens marocains redoublent de créativité pour, tous les jours, proposer à leur famille un jus différent de la veille. Un jour rose, un autre vert, en fonction du fruit qui le compose, il ne saurait se faire un ftour sans cette boisson revitalisante.
Pourtant, malgré les recommandations abondantes sur l’importance de consommer des fruits et légumes, ventant les bienfaits des vitamines, fibres, minéraux et antioxydants, tous ne sont pas bons à prendre. Certains contiennent un nombre trop important de pesticides.
Comment savoir si nos choix sont contaminés ?
A chaque cueillette, demeurent des résidus de pesticides dans les fruits et légumes consommés au Maroc ou destinés à l’export. Pour preuve, de nombreuses cargaisons en direction de l’Union européenne sont retournées au pays.
Utilisés pour le traitement des sols et sur le feuillage des plantes, les pesticides sont nécessaires. Mais seulement dans une certaine mesure. C’est le surplus de cette matière qui rend l’aliment impropre à la consommation.
Lire aussi : Fraises : aucun ralentissement des exportations n’est à prévoir
A titre d’exemple, en mai 2023, une cargaison de concombres a été analysée comme comportant trop d’Oxamyl par les autorités portugaises. En juillet 2023, l’Espagne a aussi tiré la sonnette d’alarme pour la présence d’un pesticide non autorisé dans les pastèques marocaines. Il s’agissait du méthomyl, dépassant le seuil autorisé par les autorités européennes.
A défaut de pouvoir agir au niveau des plantations, les citoyens peuvent ouvrir un œil, et le bon, pour surveiller leurs achats.
En termes de fruits, les pesticides sont plus présents dans les cerises, le pamplemousse, les nectarines, le raison, les clémentines et les oranges. Avec un peu moins de risques, viennent juste après les bananes, les abricots, les fraises et les citrons.
Comment éviter les pesticides ?
Pour limiter les risques, le mieux étant de laver ses fruits et légumes à l’eau courante pendant au moins 30 secondes, et de frotter avec une goutte de bicarbonate ou de vinaigre. Il est aussi préférable d’ôter la peau pour les poivrons, aubergines, pêches et tomates.
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Puisse Qui De Droit (L’ONSSA … pour ne pas le citer) nous confirmer que ces recommandations sont suffisantes pour préserver la santé des consommateurs. Personnellement, j’ai peur. Wa’llahi !