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Dans un contexte marqué par des tensions dans le secteur éducatif, le ministre délégué au Budget, Fouzi Lekjaa, a pris la parole hier devant la Chambre des conseillers pour aborder des mesures visant à stabiliser la situation. Face au risque d’une année scolaire perturbée, avec la menace d’une année blanche, le gouvernement envisage une augmentation salariale pour les enseignants du secteur public. Cette initiative, annoncée dans le cadre de la discussion du projet de loi de finances pour 2024, est conçue pour répondre aux revendications des syndicats d’enseignants qui maintiennent la pression par des appels à la grève.
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Dialogue gouvernemental et Reconnaissance du rôle des enseignants
Lekjaa a reconnu les défis financiers exceptionnels auxquels le pays fait face, tout en soulignant l’importance de valoriser le rôle des enseignants dans la société. L’annonce s’inscrit dans une période de concertation gouvernementale étendue, illustrée par des rencontres entre Lekjaa, le ministre de l’Éducation nationale et d’autres ministres, ainsi que les représentants des principaux syndicats d’enseignants. Ces derniers, affiliés à diverses organisations syndicales nationales, ont été parties prenantes à un accord précédent, renforçant ainsi la légitimité de leurs demandes.
L’accent est mis sur l’amélioration des revenus des enseignants, une démarche que le gouvernement considère comme cruciale pour maintenir la dignité des professionnels de l’éducation et pour reconnaître leur contribution essentielle à la société. Toutefois, les détails finaux de cette hausse salariale restent à préciser lors des prochaines négociations avec les syndicats. Parallèlement, Lekjaa a appelé à un effort collectif dans les secteurs public et privé pour relever le défi de l’inflation et améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs, reconnaissant que les mesures gouvernementales actuelles ne sont pas suffisantes pour contrer cette tendance.
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