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Après le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, qui s’est dit préoccupé par la détérioration de la situation, c’est le président de la Commission de l’Union Africaine, Moussa Faki Mahamat, qui a réclamé «un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel» au Tigré, où la violence s’est encore intensifiée. Il a aussi exhorté les parties à réitérer leur engagement au dialogue conformément à leur accord pour que des pourparlers directs soient convoqués en Afrique du Sud.
Un appel auquel ont favorablement répondu les rebelles tigréens. Ils se disent «prêts à le respecter» après que la ville de Shire, dans le nord-ouest du Tigré a été bombardée pendant plusieurs jours au cours d’une offensive commune des troupes éthiopiennes et érythréennes. Les affrontements ont d’ailleurs fait plusieurs blessés et trois morts, dont un membre de l’International Rescue Committee (IRC), une ONG qui porte secours aux sinistrés.
«Nous sommes prêts à respecter une cessation immédiate des hostilités. Nous appelons également la communauté internationale à contraindre l’armée érythréenne à se retirer du Tigré, à prendre des mesures en vue d’une cessation immédiate des hostilités et à faire pression sur le gouvernement éthiopien pour qu’il vienne à la table des négociations», a réagi le Front de libération du peuple du Tigré (TPLF).
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