Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Le débat sur la gestation pour autrui (GPA) continue de faire rage dans le monde entier, y compris au Maroc. À Casablanca, des experts juridiques, des médecins et des psychologues ont récemment pris position contre cette pratique controversée.
Un groupe de professionnels a exprimé son inquiétude face à la GPA, qui implique la location de l’utérus d’une femme pour porter un enfant pour une autre personne. Selon les signataires de la déclaration, cette pratique va à l’encontre de l’éthique médicale et des droits de l’enfant.
Les signataires ont mis en garde contre les risques de la GPA, tels que l’exploitation des femmes, la commercialisation du corps féminin et la marchandisation de la procréation. Ils ont également souligné les effets néfastes que cela pourrait avoir sur les enfants nés de cette pratique, tels que l’absence de filiation et la confusion identitaire.
Lire aussi : Avortement : entre crime et liberté individuelle
La déclaration a été signée par plusieurs organisations, dont l’Ordre national des médecins, le Syndicat national des psychologues et le Barreau de Casablanca. Les signataires ont appelé les autorités marocaines à interdire la pratique de la GPA et à renforcer la législation en matière de protection de l’enfant.
Il convient de noter que la GPA est illégale au Maroc et est considérée comme une infraction pénale passible de peines d’emprisonnement et d’amendes. Cependant, le pays est confronté à un certain nombre de défis en matière de droits de l’enfant, notamment en ce qui concerne les adoptions et les soins de santé.
Temps de lecture : 2 minutes
HCP : lancement des entretiens pour le RGPH 2024Le Haut Commissariat au Plan (HCP) a annoncé le début des entretiens oraux pour les candidats à la participation au Recensement général de … |
Rapport : le SNPM plaide pour la révision des lois relatives à la presse et l’éditionLe syndicat national de la presse marocaine (SNPM) souligne la nécessité de généraliser les conventions collectives pour protéger les droits… |