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Concours des avocats : après la polémique, Ouahbi fait son mea-culpa

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S’il aurait pu éteindre la polémique autour d’un éventuel favoritisme lors du concours d’accès à la profession d’avocat, Abdellatif Ouahbi n’a réussi, dimanche dernier, qu’à en créer une autre.

Interrogé par un journaliste sur le cas de son fils, qui figure dans ladite liste, le ministre de la Justice a déclaré: «Mon fils a deux licences, il étudie à Montréal. Son père est riche et lui a payé ses études à l’étranger». Une question qui n’aurait pas plu au ministre : «C’est une question qui se pose ça ? Mon fils n’est-il pas un citoyen ?».

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Des déclarations qui ont aussitôt suscité une nouvelle vague d’indignation sur les réseaux sociaux, plusieurs internautes allant jusqu’à réclamer sa «démission».

Et c’est sur le plateau d’Al Oula, et lors d’un entretien avec nos confrères du 360, que le ministre a livré une mise au point dans laquelle il place ses dires dans le contexte approprié.

«J’ai été provoqué lorsque j’ai dit que mon fils a deux licences. Effectivement, il en a deux: une qu’il a eue au Canada et une seconde qu’il a obtenue au Maroc. Il a étudié au Maroc, avec les enfants marocains. Il est le fils de l’université marocaine», rappelant qu’il était lui-même issu de «l’université marocaine».

Invité mardi soir sur le plateau de l’émission “Noukta Ila Satr” (traduisez, Point à la Ligne), le ministre de la Justice et secrétaire général du PAM, a estimé que ses propos sur son fils ont été mal interprétés.

«Je n’ai, à aucun moment, visé une partie au détriment de l’autre. J’ai répondu de cette manière parce que la question du journaliste était provocatrice à mon égard et à celui de ma famille», a réagi Abdellatif Ouahbi.

Et d’ajouter : «si mes propos ont été mal interprétés, je présente mes excuses. Je présente mes excuses à l’université et aux professeurs qui m’ont enseigné».

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