Akhannouch : les infrastructures, moteur du Maroc de demain

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Tourisme : le Maroc vise à étendre sa connectivité aérienneAziz Akhannouch devant le Parlement DR

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Lors de la séance mensuelle de questions au Parlement, le lundi 16 décembre 2024, le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a souligné que le développement des infrastructures constitue un pilier central pour le progrès économique et social du Maroc. Grâce à une vision stratégique initiée sous l’impulsion du roi Mohammed VI, le Royaume a connu des avancées majeures en matière d’infrastructures routières, ferroviaires, portuaires et sociales.

Akhannouch a notamment mis en avant des réalisations impressionnantes : l’extension du réseau autoroutier à 1.800 kilomètres, le renforcement du réseau ferroviaire avec l’extension du train à grande vitesse jusqu’à Marrakech, ainsi que l’agrandissement des principaux aéroports, pour atteindre une capacité de 80 millions de passagers à horizon 2030. Par ailleurs, les efforts en matière de construction de ports stratégiques, tels que Nador West Med et le port de Dakhla Atlantique, témoignent de l’ambition du Maroc de devenir un hub logistique régional.

Lire aussi : Akhannouch revient sur l’augmentation des salaires

Modernisation des infrastructures sociales

Le discours a également mis l’accent sur les infrastructures sociales. Le nombre d’hôpitaux est passé de 112 en 1999 à 177 en 2024, tandis que le secteur éducatif a connu une croissance remarquable avec plus de 12.000 établissements scolaires, dont une grande partie en milieu rural. Des investissements ont également été engagés pour moderniser les centres de santé et renforcer l’accès à l’eau potable et à l’électricité dans les zones reculées.

Un levier stratégique pour l’avenir

Le chef du gouvernement a insisté sur l’importance des infrastructures pour attirer les investissements privés et améliorer la compétitivité économique. Les projets en cours visent à soutenir les objectifs du Maroc à horizon 2030, notamment dans les domaines de l’énergie renouvelable, de la mobilité urbaine et du numérique. Avec un budget d’investissement public atteignant 335 milliards de dirhams en 2024, le Maroc confirme sa détermination à poser les bases d’un avenir prometteur, résilient et inclusif.

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