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La commission d’instruction a rejeté ce jeudi 13 octobre la requête en révision de Omar Raddad, bien que sa défense ait présenté des « éléments nouveaux » qui pourraient l’innocenter. Vingt-huit ans après sa condamnation pour le meurtre de Ghislaine Marcha, l’ex-jardinier marocain avait écopé de dix-huit ans de réclusion criminelle avant d’être gracié.
Sa première requête en révision avait été rejetée il y a vingt ans. Mais cela ne l’a pas empêché d’en demander une nouvelle le 24 juin 2021, trente ans après la découverte du corps de la riche veuve d’un équipementier automobile. Cette dernière avait été retrouvée morte dans la chaufferie de sa propriété de Mougins (Alpes-Maritimes) le 24 juin 1991. Deux inscriptions accusatoires en lettres de sang – « Omar m’a tuer » et « Omar m’a t » – avaient été découvertes sur deux portes. Une faute de conjugaison qui a placé l’affaire parmi les dossiers criminels les plus célèbres et controversés de France.
En se basant sur les notes d’un expert en génétique, les avocats de Raddad avaient révélé que quatre ADN masculins inconnus étaient présents dans la scène de crime, particulièrement sur l’inscription « Omar m’a t ». L’expert favorisait «l’hypothèse d’un dépôt de l’ADN lors des faits et non d’une « pollution » ultérieure, notamment par les enquêteurs». En d’autres termes, ces traces génétiques pourraient appartenir au véritable meurtrier, estime la défense de l’ancien jardinier.
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