Mawazine 2025 : Sherine contre-attaque face aux critiques

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Mawazine 2025 : Sherine contre-attaque face aux critiquesSherine Abdel Wahab lors de la dernière soirée du festival Mawazine à Rabat © DR

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La prestation de Sherine Abdel Wahab lors de la dernière soirée du festival Mawazine à Rabat continue de faire couler beaucoup d’encre. Attendue avec impatience, sa venue a finalement été marquée par un concert désorganisé, entaché par un retard important, des accusations de playback, et une atmosphère électrique entre l’artiste et le public. Résultat : une déferlante de critiques sur les réseaux sociaux, certains allant jusqu’à qualifier l’événement de fiasco.

Controverse et riposte juridique

Face à cette vague de reproches, l’artiste égyptienne a décidé de sortir de son silence. Par l’intermédiaire de son avocat, Yasser Kantoush, elle dénonce une « campagne orchestrée » visant à nuire à sa réputation. Le juriste affirme que Sherine est prête à engager des actions judiciaires contre toute forme de diffamation, tout en précisant qu’elle distingue entre critique constructive et attaques malveillantes.

Lire aussi : Mawazine 2025 : l’heure du bilan

Sherine, toujours par la voix de son avocat, a remercié ses fans pour leur fidélité indéfectible, affirmant que ce lien solide reste son principal moteur face à la pression médiatique. Sur les réseaux sociaux, plusieurs figures du monde artistique égyptien sont montées au créneau pour défendre la chanteuse. L’animatrice Basma Wahba a ainsi imploré le public marocain de ne pas juger Sherine trop durement, soulignant son courage d’être montée sur scène malgré son état.

D’autres personnalités comme Shaimaa Seif et Ghada Abdel Razek ont également réagi, la première démentant toute utilisation du playback, et la seconde provoquant une nouvelle polémique avec une phrase énigmatique jugée méprisante.

Enfin, le médecin personnel de la chanteuse a tenu à rassurer sur son état de santé, dénonçant la dureté des jugements envers les artistes : « Ils ont besoin de soutien, pas d’hostilité », a-t-il insisté.

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