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Ce jeudi 25 février, le président américain Joe Biden a autorisé une frappe en Syrie contre des infrastructures utilisées par ce que le Pentagone a présenté comme des milices soutenues par l’Iran. Suite à ces frappes aériennes américaines, lancées en réponse aux récentes attaques contre des intérêts occidentaux en Irak, au moins 17 combattants pro-Téhéran ont été tués. Il s’agit de la première offensive del’armée américaineorganisée par l’autorité de l’administration Biden.
Selon John Kirby, le porte-parole du ministère de la Défense américain, qui a qualifié cette opération militaire de «défensive», ces «frappes ont été autorisées en réponse aux attaques récentes contre le personnel américain et de la coalition en Irak, et à des menaces toujours en cours contre ce personnel». «Cette opération envoie un message très clair : le président Biden fera en sorte de protéger le personnel américain et les membres de la Coalition» en Irak, a déclaré le porte-parole du Pentagone. Kirby a précisé que des frappes avaient détruit «de multiples infrastructures situées à un poste-frontière utilisé par des milices soutenues par l’Iran, notamment le Kataeb Hezbollah».
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