Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Trois décennies après la répression sanglante du Parti communiste chinois contre les manifestations estudiantines pro-démocratie sur la place Tiananmen, le souvenir demeure, malgré les tentatives du pays de l’éradiquer.
La répression du 4 juin 1989 à Pékin a été un rappel brutal des réalités politiques du système à parti unique de la Chine, alors même que le pays le plus peuplé du monde s’engageait dans des réformes et s’ouvrait sous la houlette du chef du parti de l’époque, Deng Xiaoping.
Depuis lors, l’Occident et le Japon ont cherché à trouver un équilibre entre les préoccupations relatives aux droits de l’homme et les avantages des relations économiques avec la Chine.
Aujourd’hui, alors que les allégations d’internement de la minorité musulmane ouïghoure de Pékin dans des camps de concentration revêtent une nouvelle urgence et que la communauté internationale est aux prises avec la domination économique croissante de la Chine, la question est devenue plus pertinente que jamais.
Pour résoudre cette énigme et garder vivant le souvenir du massacre, l’expérience du Japon d’il y a 30 ans peut fournir des enseignements pertinents. Des universitaires et des militants, dont un ancien chef de file de la protestation, ont souligné les difficultés auxquelles Tokyo a dû faire face – et les défaillances qui sont apparues – pour faire face à la brutalité de Pékin.
La Chine n’a jamais donné un compte rendu complet des événements, mais des centaines, voire des milliers de personnes, auraient été tuées par les troupes de l’Armée populaire de libération qui ont repris la place, tandis qu’un télégramme diplomatique secret envoyé à l’époque de l’ambassadeur britannique en Chine a fait payer beaucoup plus cher sa libération, au moins 10000 personnes, quand il fut publié en 2017.
Au contraire, Pékin s’est lancé dans une campagne incessante de censure, transformant le massacre en l’un des problèmes les plus politiquement tabous en Chine.
Temps de lecture : 2 minutes
Guerre à Gaza : le chef du Mossad en visite au Qatar pour négocier une trêveUne rencontre diplomatique d'importance s'est tenue à Doha le 18 mars 2024, pour évoquer les perspectives d'une trêve dans la bande de Gaza.… |
Paris : ouverture du procès de Salim Berrada, un Marocain surnommé le « violeur de Tinder »Le procès de Salim Berrada, un Marocain surnommé le "violeur de Tinder", s'est ouvert lundi à Paris. Une affaire qui secoue l'opinion publiq… |
Agence Bayt Mal Al-Qods : don d’équipements à l’hôpital du Croissant Rouge d’Al QodsLe roi Mohammed VI, président du Comité Al Qods, a ordonné la mise en œuvre d'une initiative humanitaire au bénéfice des habitants de Gaza e… |
ONU : première résolution sur l’IA annoncée par les États-Unis et le MarocLors d'une conférence de presse tenue au siège de l'Organisation des Nations Unies, Linda Thomas Greenfield, ambassadeur représentante perma… |
Espagne : approbation de la loi d’amnistie pour les indépendantistes catalansJeudi, le parlement espagnol a approuvé une loi d'amnistie bénéficiant aux leaders indépendantistes catalans, impliqués dans la tentative éc… |
Commerce mondial des marchandises : un regain d’énergie pour 2024 ?Après plusieurs mois d’inquiétude, le commerce mondial des marchandises pourrait connaître une légère augmentation au premier trimestre de 2… |
Marseille : 13 membres présumés de la DZ Mafia arrêtés dans une opération antidrogueDans le cadre d'une vaste opération menée à Marseille et à Rennes, les forces de l'Office central de la lutte contre la criminalité organisé… |
Le cours du bitcoin explose à plus de 72.000 dollarsLes jeux sont faits, rien ne va plus ! Le bitcoin a atteint de nouveaux sommets évalués à plus de 72.000 dollars. Plus précisément, celui-ci… |