Les étudiants en médecine poursuivent leurs protestations le 30 mai
A
A
A
A
Les étudiants en médecine vont poursuivre leurs protestations malgré l’appel lancé récemment par le ministre marocain de l’Éducation, Said Amzazi. Amzazi exhorte les étudiants à mettre fin aux grèves et à retourner en classe, soulignant que les dates des examens finaux ont été fixées et ne changeront pas.
La Commission nationale des étudiants en médecine a annoncé que les étudiants manifesteront le 30 mai prochain dans la rue. Ils commenceront leur marche du siège du ministère de la Santé vers le Parlement.
Le comité a également annoncé que certains étudiants en médecine boycotteront leur stage de 7e année dans les hôpitaux régionaux et provinciaux pendant deux semaines, à compter du 27 mai.
Le 20 mai, Amzazi a déclaré que le ministère de l’Éducation a pris les mesures nécessaires pour compenser le temps que les étudiants en médecine ont manqué pendant les protestations. Il a également précisé que le ministère avait fixé les dates des examens.
« Ceux qui vont passer les examens sont les bienvenus, et ceux qui les manqueront doivent assumer les conséquences de leurs actes », a déclaré Amzazi.
Les étudiants ont entamé une grève depuis près de deux mois pour protester contre diverses menaces, notamment la privatisation de l’enseignement et des services médicaux, la nécessité d’améliorer les conditions de formation des étudiants en médecine et le besoin d’équipement médical requis dans les centres de formation.
Au début de la semaine dernière, les futures blouses blanches ont rejeté le projet d’accord du gouvernement. La proposition du ministère de la Santé prévoyait une « réduction des dépenses et des frais de matériel pour les étudiants en médecine dentaire ».
De plus, le projet proposait que « les facultés privées doivent se doter de leur propre espace de formation hospitalière ».
L’entente vise également à « augmenter le nombre de postes attribués aux diplômés en médecine en pharmacie et en dentisterie ».
Société - Ancien leader d’Annahj Addimocrati, Mustapha Brahma est décédé ce lundi à Casablanca.
Ilyasse Rhamir - 13 octobre 2025Société - En raison du changement climatique, le Maroc voit son climat se transformer, avec des répercussions sur des secteurs clés de son économie ainsi que sur la vie quotidienne de ses citoyens.
Mouna Aghlal - 13 octobre 2025Société - Adopté en 2018 pour aligner le Maroc sur ses partenaires économiques, l’horaire GMT+1 divise toujours la population, entre fatigue quotidienne et recherche de stabilité.
Hajar Toufik - 13 octobre 2025Société - À l’approche du match Maroc–Congo à Rabat, le mouvement « GenZ 212 » appelle les supporters à boycotter la rencontre, estimant que les priorités nationales et la défense des libertés doivent passer avant la ferveur sportive.
Ilyasse Rhamir - 13 octobre 2025Société - Le mouvement « GenZ 212 » a rejeté les rumeurs évoquant un piratage de son serveur. Selon ses précisions, l’incident concerne une faille chez Zendesk, fournisseur de services pour Discord, et n’a aucun lien avec leur activité.
Ilyasse Rhamir - 13 octobre 2025Société - Le mouvement « GenZ212 » a décidé de suspendre temporairement ses rassemblements prévus ce week-end.
Ilyasse Rhamir - 11 octobre 2025Société - Soixante figures marocaines appellent le roi Mohammed VI à lancer des réformes profondes en phase avec les revendications de la jeunesse.
Hajar Toufik - 8 octobre 2025Dossier - Des piétons qui traversent d’un trottoir à l’autre, des voitures qui zigzaguent… À croire que les Casablancais vivent dans un jeu vidéo, sans bouton pause.
Sabrina El Faiz - 12 avril 2025Société - Les manifestations de la « GenZ 212 », poursuivent leur mobilisation à travers un appel au boycott des entreprises liées à Aziz Akhannouch.
Ilyasse Rhamir - 7 octobre 2025Société - Au Maroc, on peut rater son permis de conduire, son bac… Mais rater son mariage ? Inenvisageable !
Sabrina El Faiz - 23 août 2025Dossier - Au Maroc, pour définir le terme classe moyenne, nous parlons de revenus. Cela ne veut pourtant plus rien dire.
Sabrina El Faiz - 5 juillet 2025Dossier - Un faux témoignage peut envoyer un innocent en prison ou blanchir un coupable. Un faux diplôme casse la méritocratie. Un faux certificat peut éviter une sentence.
Sabrina El Faiz - 24 mai 2025