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Samedi 26 septembre, vingt-cinq jours seulement après sa nomination, Moustapha Adib, Premier ministre libanais, a jeté l’éponge. L’ancien ambassadeur de Beyrouth en Allemagne a annoncé qu’il renonçait à former un gouvernement. Il a ainsi remis sa démission au président Michel Aoun, qui devra désormais nommer un nouveau chef de l’exécutif pour sortir son pays de l’impasse politique aggravée par la double explosion qui a dévasté Beyrouth en août. Notons qu’Adib, nommé au poste de Premier ministre le 31 août dernier, conformément à l’initiative française visant à sortir le Liban de sa crise, était sous pression pour former un gouvernement dans le but de lancer les réformes réclamées par la communauté internationale pour débloquer des milliards de dollars d’aide.
Début septembre, à la suite des explosions meurtrières à Beyrouth et de la démission du gouvernement, les partis politiques libanais s’étaient engagés auprès d’Emmanuel Macron, chef de l’État français, à former un cabinet de ministres «compétents» et «indépendants» pour sortir le pays de la crise. Au lendemain de l’annonce d’Adib, Macron a accusé cette classe politique locale de trahison. Pour rappel, Macron avait fixé une forme d’ultimatum pour ledébut du mois d’octobre, lors de son déplacement début septembre à Beyrouth. «Si les promesses ne sont pas tenues d’ici octobre, il y aura des conséquences», avait alors prévenu le dirigeant français.
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