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Ce mardi 15 septembre à Washington, le Bahreïn et les Émirats arabes unis (EAU) ont officiellement signé des accords pour normaliser les relations avec Israël, baptisés accords d’Abraham. En présence du président américain Donald Trump, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, Cheikh Abdallah ben Zayed Al Nahyan, le ministre émirati des Affaires étrangères et Abdullatif Al-Zayani, ministre des Affaires étrangères du Bahreïn, ont été accueillis à la Maison-Blanche, ou ils ont signé ces accords historiques.
Cette cérémonie de signature a pris la forme d’un événement typique axé sur la réélection de Trump, qui a présenté ces accords comme une victoire majeure en politique étrangère pour son administration. Il a affirmé que «cinq ou six pays» arabes supplémentaires rejoindront «très bientôt» la liste des états arabes ayant normalisé leurs relations avec l’État hébreu.
Par ailleurs, suite à cette signature, la Palestine a dénoncé une «trahison» de ses voisins arabes, soulignant qu’il n’y aurait pas de paix avec Israël sans la fin de la «colonisation». Ce mardi, des centaines de manifestants ont protesté contre ces accords dans les villes de Naplouse et Hébron, dans le nord et le sud de la Cisjordanie occupée et dans la bande de Gaza. Brandissant des drapeaux palestiniens, des manifestants portant pour la plupart des masques anti-coronavirus se sont rassemblés dans les rues, portant des banderoles soulignant :«Non à la normalisation avec l’occupant» israélien, «Les accords de la honte» ou encore «Trahison». Dans la soirée, des roquettes ont été tirées depuis Gaza, et au moins deux Israéliens ont été blessés.
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