Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Vendredi 21 août, Fayez al-Sarraj, chef du Conseil présidentiel du Gouvernement d’union nationale (GNA), basé à Tripoli et reconnu par l’ONU, et Aguila Saleh, président du Parlement élu, basé dans l’est du pays, ont annoncé séparément avoir ordonné «un cessez-le-feu immédiat et l’arrêt de tous les combats sur tout le territoire libyen». Les deux textes publiés par les autorités rivales libyennes ont également annoncé de nouvelles élections politiques, qui se tiendront en mars 2021.
Cet accord intervient alors que le pays estplongé dans un conflit, dont l’internationalisation croissante laissecraindre à une intensification des combats, depuis la chute de Kadhafi en 2011. Cette «entente» a été saluée par l’Organisation des Nations Unies (ONU). L’Union européenne a également salué cette«avancée» après l’annonce du cessez-le-feu en Libye. Cependant, cette démarche a été critiquée par Ahmad al-Mesmari, le porte-parole du maréchal Khalifa Haftar, commandant en chef de l’Armée nationale libyenne. Ce dernier l’a qualifié de simple «coup médiatique» de la part du GNA, qui s’apprêteraient à mener une nouvelle offensive armée. «C’est du marketing médiatique. (…) La vérité, c’est ce qui se passe sur le terrain», a-t-il lancé.
Temps de lecture : 2 minutes
Banque mondiale : prévisions de croissance positive pour la région MENALe rapport de la Banque mondiale, intitulé «Le conflit et la dette au Moyen-Orient», évalue la croissance globale de la région du Moyen-Orie… |
Farid Alilat, journaliste algérien, refoulé à l’aéroport international d’AlgerUn journaliste algérien, de l’hebdomadaire Jeune Afrique, a récemment été confronté à une situation délicate. Ça s’est passé au niveau de l’… |