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Un retour à l’ordre en Algérie est peu probable. Malgré le jeûne du ramadan, les contestations qui ont débuté il y a trois mois ne se sont toujours pas arrêtées.
Ce mardi 21 mai, des milliers d’étudiants et enseignants manifestent contre l’élection présidentielle prévue le 4 juillet, visant à nommer un successeur à Abdelaziz Bouteflika.
Cette date était communiquée par l’armée qui, désormais au centre du jeu politique, cherche à éviter les rassemblements dans le centre d’Alger et appelle les citoyens à respecter le calendrier de la présidentielle.
2000 étudiants et enseignants font face à un fort déploiement policier qui les empêche de se rassembler dans le centre de la capitale, ils se rendent donc devant le Palais du gouvernement, siège des services du Premier ministre et du ministère de l’Intérieur.
Les chants d' »Un État civil, pas un État militaire » font écho dans les rues d’Alger. Selon des médias algériens, des étudiants manifestent également dans plusieurs villes universitaires, à Oran, Constantine et Béjaia…
« Pas d’élections, bande de mafieux? », scandent-ils également. Plusieurs slogans visent directement le chef d’état-major de l’armée, le général Ahmed Gaïd Salah, tel que « ?Gaïd Salah dégage?!? » et « Peuple et armée sont frères, mais Gaïd Salah est avec les traitres ».
C’est Gaïd Salah qui a demandé le maintien de la présidentielle prévue le 4 juillet pour élire un successeur à Abdelaziz Bouteflika.
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